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L'émétophobie au quotidien
20 mars 2013

Les conséquences de la phobie

Outre les crises d'angoisse qui nous font suer, il y a tout le reste.

 

La dépression


Maladie mal connue qui est assez dure à vivre. En effet, ce n'est pas la joie de se sentir triste, blasée, à bout de force tous les jours. Alors il y a ceux qui ont la chance d'être accompagnés et ceux qui ne l'ont pas.

C'est frustrant lorsque l'on a envie de péter le feu, de rire, de s'amuser, mais qu'au lieu de cela, on a envie de pleurer et on n'arrive même pas à sortir de son lit le matin. De mauvaises pensées encombrent le cerveau sans arrêt.

La thérapie est le meilleur des traitement. Cependant, on ne voit pas de psy tous les jours, une fois par semaine si on a de la chance. Ce qui veut dire que le reste du temps, c'est dur de garder le moral. 

Alors l'espoir et l'accompagnement permettent de garder la tête haute.

 

J'ai pour ma part la chance de vivre avec une personne formidable qui me permet de garder la tête hors de l'eau. Il m'aide à me relaxer, à voir que toutes ces sensations qui m'envahissent ne sont pas réelles. Tout va passer. Je pense être chanceuse par rapport à cela et j'en suis consciente. J'aurai pu "tomber" sur quelqu'un de beaucoup moins compréhensif. 

 

 

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L'émétophobie au quotidien
  • L'émétophobie, une phobie mal connue et pourtant dévastatrice. Contrairement à l'agoraphobie par exemple, celle-ci nous suit partout où que l'on aille et quoi que l'on fasse. Tout les jours, elle est là, dans un coin de ma tête...
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